Du givre… en mai? Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est chose fréquente en Boréalie. Dans sa trilogie ayant pour thème le printemps, le gel et les oiseaux, l’artiste a su marier la vivacité des plantes, la résilience des passereaux migrateurs et la rudesse du climat nordique, toujours imprévisible. Dans la forêt boréale, les gelées tardives créent souvent des scènes d’une grande beauté. Le monde sauvage offre des contrastes formidables qui séduisent les peintres et les poètes. Cette œuvre est la deuxième de la trilogie intitulée GIVRE DE MAI.